Julien Petit, diplômé en 2018, reçoit un prix dans le cadre de son doctorat en "Catalyse, Biocatalyse et Séparation" à l'IFP Energies Nouvelles

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Actuellement en thèse à l’IFP Energies Nouvelles, Julien Petit a reçu un prix pour la meilleure communication et l’excellence de ses recherches lors d’un « Workshop des Doctorants ». Suite à ce prix, il a reçu la médaille Yves Chauvin (médaille remise lors d’événements internes à l’IFPEN).
Il nous en dit plus sur ce prix et son parcours :

« Une fois par an, tous les doctorants du département « Catalyse, Biocatalyse et Séparation » d’IFP Energies Nouvelles sont invités à présenter leurs recherches sur leur sujet lors d’un Workshop de deux jours. Chaque étudiant dispose de 20 à 30 minutes pour présenter l’objectif de sa thèse et les réalisations qu’il a faites. Une grande variété de spécialités est présentée durant ces deux journées.
Deux prix pour les meilleures communications sont attribués : l’un par les doctorants et l’autre par l’équipe de recherche du département. J’ai reçu ce dernier pour l’aspect pédagogique de ma communication ainsi que pour l’excellence des recherches présentées. C’est suite à ce prix que j’ai reçu la médaille Yves Chauvin (médaille remise lors d’évènements internes à l’IFPEN).

J’ai intégré les classes préparatoires de CPE Lyon en 2012 avant de suivre le cursus ingénieur à partir de 2014 (section Chimie, Génie des Procédés). Entre la 2ème et la 3ème année du cycle ingénieur, j’ai réalisé un stage chez Arlanxeo (Pays-Bas) où j’ai pu travailler sur la synthèse de catalyseurs métalliques pour la synthèse de caoutchouc. Lors de ma 3ème et dernière année à CPE Lyon, j’ai réalisé un double diplôme en suivant le master de chimie inorganique proposé par l’université Claude Bernard de Lyon afin d’augmenter mes chances d’obtention d’un doctorat dans le domaine. J’ai donc pu, en 2018, rejoindre IFP Energies Nouvelles en tant que doctorant, en collaboration avec le laboratoire HFA (Hétérochimie Fondamentale et Appliquée, CNRS) à Toulouse. L’objectif de ma thèse était de désigner de nouveaux complexes organométalliques de nickel pour l’oligomérisation de l’éthylène. «